Sports Poets Society

George Tiedemann/Sports Illustrated The Cheyney basketball story has been lost to history. BEN PICKMAN MAR 31, 2022 Four days before Selection Sunday, one of college basketball’s most hallowed halls lies almost entirely dormant. Only a single person, Tammy A. Bagby, the director of athletics at Cheyney University of Pennsylvania , is inside working in her office, a mere chest pass from the entrance to the arena floor. On this sleepy Wednesday in mid-March, the gym’s retractable bleachers are pushed in. A few Wilson basketballs are scattered across the court, while a chalkboard and equipment for shooting drills sit nestled in one corner. Three banners hang on the opposite end, remnants of a time when Alfred Cope Hall was home to dominant men’s and women’s basketball teams. Among the signs is one honoring the school’s 1978 men’s NCAA Division II championship, though it’s slumping ever so slightly thanks to a missing zip-tie at the top. Another banner, placed just to its right, lists the

Pendant toute la durée des Jeux olympiques de Paris, nous vous proposons de découvrir le regard d’un intellectuel ou d’un écrivain sur une discipline sportive – et les mots choisis auxquels il a recours pour le décrire. Cette semaine, le philosophe Robert Redeker place le vélo sur la plus haute marche du podium. “Épiques, les grands moments du cyclisme  sont des joutes entre demi-dieux dans l’empyrée,  bien au-dessus du plancher des vaches des humains ordinaires” 26 Jul 2024 - Le Figaro Magazine par Robert Redeker Le cyclisme est le sport épique par excellence. Le genre épique s’est perdu dans notre modernité sans aventures. Il survit pourtant, comme en un enclos irréductible, comme en un village gaulois résistant, dans le sport cycliste. L’épopée met en scène des hommes qui par l’héroïsme de leurs exploits s’extraient de l’ordinaire humain pour se hisser au niveau des demidieux. Ainsi Bernard Hinault , en ce mémorable 24 avril 1980, remporte-t-il en solitaire, après une longue chevauc

26 Jul 2024 - Le Figaro par Yves Thréard Le génie français pour le majestueux On oublierait presque que les Jeux olympiques sont d’abord un événement sportif. Ce vendredi, à partir de 19h30, le monde sera à Paris. Plus d’un milliard de téléspectateurs, une centaine de chefs d’état et de gouvernement venus spécialement, des rois et des reines, des princes et des princesses aussi, des VIP dûment invités et de simples touristes ou curieux seront de la fête. Et quelle fête ! Un spectacle péplum comme personne n’en a, dit-on, jamais vu, sur 6 kilomètres, dont l’écrin est une ville, dont la scène est un fleuve, dont les 10 500 acteurs sont des athlètes accourus des cinq continents. Un spectacle de tous les superlatifs, dont le scénario a été tenu secret, où l’eau, l’air et la terre joueront chacun leur partition pendant quatre heures. Paris pour les Jeux, c’est Paris habillé de mille feux afin d’en mettre plein les yeux. N’en jetez plus. Si l’affiche tient ses promesses, on n’a pas fini d’en

6 Jul 2024 - L'Équipe Lionel Dangoumau Directeur de la rédaction Pourquoi les Jeux? À quoi bon? Cette question, la France se l’est souvent posée. Avant de candidater, déjà, après avoir été battue face à une autre ville-hôte, souvent, et même après en avoir obtenu l’organisation, mettant fin à quarante ans de défaites contre le FC CIO, bonheur fugace vite remplacé par les sujets qui fâchent. La menace terroriste, les dépenses excessives, les travaux à n’en plus finir, les hôtels trop chers, les transports surchargés et même les (fausses) punaises de lit! Pourquoi les Jeux? À quelques heures de la cérémonie d’ouverture, la réponse semble limpide, après des semaines qui ont failli tout gâcher. La dissolution de l’Assemblée nationale décidée le 9 juin par le président de la République, Emmanuel Macron, a fait trembler les organisateurs. Elle aurait pu embraser le pays. Réveiller ses divisions, plus irréconciliables que jamais, à un mois et demi de l’événement du siècle, ce n’était pas

We publish independently audited information that meets our strong  editorial guidelines . Be aware we may earn a commission if you purchase anything via links on our pages. By MIKE THOMAS, SPORTS EDITOR Published16 Jun 2020 It has to go down as the worst NBA draft of all-time, especially if it’s based on first-round success. The 1986 NBA draft was cursed . Three of the top 13 picks have died, with No. 2 pick Len Bias having never played an NBA game. Two of the top six picks served lengthy prison sentences. The best players, including Dennis Rodman, weren’t picked until the second round. The 1986 NBA draft is one that most would like to forget. The bad outweighed the good in the 1986 NBA draft RELATED: William Bedford, the No. 6 Pick in the 1986 NBA Draft: ‘I Hated Basketball’ Brad Daugherty, the University of North Carlina’s talented center, was the consensus No. 1 pick heading into the 1986 NBA draft and the Cleveland Cavaliers lucked out by grabbing him. After Daugherty, who playe

Un parcours de 6 km, 306 000 spectateurs, 3 000 artistes… Le lancement des Jeux en grande pompe sur la Seine ce vendredi à 19 h 30 concrétise sept ans de réflexion, de mises à l’épreuve et de secret à tous les étages. 26 Jul 2024 - Libération par Laure Bretton Photos Denis Allard Aquoi reconnaît-on une cérémonie d’ouverture «historique et iconique», les deux mots fétiches du Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop) de Paris 2024, où l’emphase atteint à peu près le même niveau que l’enjeu ? Aux 44000 grilles déployées le long de la Seine depuis une semaine. Certes. Aux jets privés qui débarquent leurs brochettes de célébrités pailletées sur le tarmac du Bourget depuis quelques jours. Aussi. Aux milliers de gradins pavoisés de bleu et de rose vissés ces derniers jours sur les ponts et les quais de la capitale. Bien sûr. Mais pour les organisateurs, il y a un signe bien plus prosaïque de l’imminence de ce show hors normes. Météo capricieuse Depuis la fin du mois

26 Jul 2024 Libération par Paul Quinio Rêver éveillé. Profiter de la parenthèse, sans chausser pour autant une paire de lunettes enchantées pour mieux oublier la marche dramatique du monde ou le marasme politique français.  Les Jeux olympiques et paralympiques démarrent, avec ce vendredi une cérémonie d’ouverture que ses concepteurs et le pouvoir politique annoncent depuis des mois comme étant hors normes, avec la Ville lumière, son fleuve, ses ponts et ses monuments mythiques comme décor, et non un simple stade bondé de 80 000 spectateurs comme à l’accoutumée. Avec aussi ses stars planétaires en cerises sur un spectacle qui sera regardé de New York à Bangkok, de Lima à Douala, des îles Marquises à Helsinki par plus d’un milliard de téléspectateurs, sans oublier les 300 000 chanceux des bords de Seine. Donc oui, le rêve, dont il faut savoir profiter. Il se prolongera à partir de samedi, dans les gradins installés sous la tour Eiffel ou dans un canapé d’un couloir de Manille, au bord du